Comment la France s’est transformé en leader dans l’émulation contre le gaspillage alimentaire

La France est vraiment un chef culinaire, autant à la table que, plus récemment, à la poubelle. En février 2016, la France est devenue la première nation au monde à interdire aux marchés de l’alimentation de mettre de côté des plats peu utilisés au moyen de directives juridiques adoptées à l’unanimité. Maintenant, les marchés des dimensions choisies devraient donner des aliments intacts ou traiter avec un excellent. D’autres polices d’assurance exigent que les institutions renseignent les étudiants sur la durabilité des aliments, que les entreprises déclarent des statistiques sur les gaspillages d’aliments dans les rapports sur l’environnement et que les restaurants proposent des sacs à emporter. Marie Mourad, étudiante au doctorat en sociologie à Sciences Po à Paris, a rédigé de nombreux documents sur les déchets de repas en France. « La France n’est tout simplement pas le pays qui gaspille le moins de nourriture en matériaux, mais ils sont en train de devenir les plus positifs, tout simplement parce qu’ils veulent devenir la nation exemplaire des pays européens. » Les initiatives de la France n’ont pas été ignorées. Le pays a reçu une position de leader dans le Répertoire de la durabilité des aliments 2017, une étude de marché menée dans 25 pays du monde entier, le centre-est, l’Asie, et les Amériques, par l’intermédiaire de la fondation Economist et Barilla Heart for Meals and Diet (BCFN). Les Français ont perdu chaque année 234 kilos de nourriture par personne, ce qui est bien meilleur que les cousins ​​de la France dans le monde, ce qui est nettement supérieur au record de la BCFN, contre environ 430 kilos par an jeté aux États-Unis. Les déchets modestes ont une grande influence Les aliments gaspillés, ou les délicieux aliments inutilisés, sont une préoccupation mondiale. Chaque année, quelque 1,3 milliard de métriques de tous types, ou l’un des prochains des produits alimentaires générés, font l’objet d’un dumping, sur la base des activités de l’Alimentation et de l’Agriculture des Nations Unies. Récupérer seulement 25% de ces denrées alimentaires gaspillées pourrait fournir de la nourriture à 870 millions de personnes enthousiastes – mettant ainsi en évidence le besoin de nourriture de la société. Non seulement les déchets gaspillent-ils des informations importantes telles que l’eau standard, les terres arables et les fonds, mais ils remplissent également les décharges, qui émettent du méthane. Si les repas gaspillés finissent par devenir un pays, il pourrait s’agir du 3ème plus grand émetteur de gaz à effet de serre alimentant les États-Unis et l’Extrême-Orient. «Les dépenses alimentaires sont vraiment urgentes car, où et comment nous créons des aliments, l’impression est la plus forte au monde, quelle que soit l’activité», déclare Jason Clay, vice-président senior des produits et marchés alimentaires dans le compte mondial des animaux. «Aux États-Unis, le gouvernement fédéral n’a pas de champions qui s’intéressent beaucoup aux produits alimentaires, mais les aliments gaspillent des matériaux», suggère M. Clay. « Cela nous a séparés de la France: ils ont aussi des gens qui avaient besoin de relever ce défi politiquement. »