Le mois dernier, mon épouse et moi avons accompli avec mon épouse un vol en montgolfière. Ce dernier s’est déroulé au calme, et je dois avouer que ça a été un choc. J’y suis allé à reculons, c’est mon épouse ma femme qui a fait des pieds et des mains pour qu’on le fasse à deux), mais je dois reconnaître que j’ai été carrément troublé. Parce que les sensations en vol sont énormes ! Ce n’est pas évident à présenter. On profite du spectacle, mais ça ne résume pas tout. Ca, ça n’a rien d’insolite, somme toute. Lorsqu’on grimpe à bord de la montgolfière, on observe le monde avec sérénité. Et ça, c’est de la magie à l’état pur. C’est quelque chose qu’on ne ressent absolument pas dans un avion, par exemple. C’est probablement dû au silence qui règne dans une montgolfière. Quoi qu’il en soit, ça fait son petit effet. Les vols se passent quand le soleil se lève, parce qu’en journée, le soleil engendre des courants d’air ascendants qui rendent les vols moins sûrs. On survole donc un monde encore ensommeillé. En fait, on a l’impression d’assister à la naissance du monde. Et l’altitude aidant, on a un peu le sentiment d’être Dieu examinant le réveil du monde. Je ne peux pas vous détailler le sentiment de paix qu’on éprouve à ce moment-là : c’est absolument divin !
Cependant, je ne crois pas que tout le monde à bord ait vécu la même expérience. Nous étions 5 passagers à bord, et certains souhaitaient uniquement contempler leur rue depuis le ciel. Mais enfin, c’est comme pour un livre : il peut être reçu très différemment selon qui le lit ! Enfin bref, si la chose vous tente, il n’y a pas à hésiter. D’ailleurs, je vous mets en lien le site auquel nous avons fait appel pour ce vol en montgolfière. Si vous habitez non loin de l’aérodrome, il n’y a pas à hésiter ! La vue est absolument inoubliable. Et observer notre monde du point de vue d’un ange, ça mérite bien d’écourter sa nuit… En savoir plus en suivant le lien sur le site du spécialiste reconnu de ce vol en montgolfière.
Auteur : admin2734
Pourquoi les salaires ne bougent pas
«Les jeunes d’aujourd’hui ont besoin d’argent pour obtenir leur diplôme», a déclaré CY Chan, responsable de la mobilisation des talents et des investissements sociaux chez HK Broadband, qui propose des services à large bande haut débit aux immeubles résidentiels à Hong Kong. Selon M. Chan, les taux de rémunération de la société peuvent être « encore plus compétitifs » que le marché. Bien que la firme offre certains avantages – le personnel de parrainage, y compris les promoteurs et les installateurs, pour obtenir des diplômes – Chan évite les avantages tels que la nourriture gratuite. « Nous n’allons pas dans cette direction », dit-il. « Nous essayons de nous concentrer sur ce qui peut vraiment motiver nos employés. » HK Broadband a lancé un programme de copropriété en 2012 dans le cadre d’un plan de sortie pour une société à capital privé qui avait précédemment racheté la société de télécommunications. Il permet aux employés d’utiliser leurs économies pour investir dans les actions de la société, l’entreprise offrant elle-même des actions gratuites. Plus de 10 000 des 3 000 employés de HK Broadband sont actuellement copropriétaires, y compris Chan, qui travaille pour la société depuis sept ans. Il y a une longue histoire de sociétés qui ont forgé une approche plus progressive. Des coopératives comme le John Lewis Partnership, où tout le monde, du chef d’entreprise au magasin, reçoivent le même bonus annuel qu’ils pouvaient vivre, bénéficier de congés réguliers et participer aux activités par le biais de comités d’entreprise. Certains, comme le chocolatier Cadbury, ont même construit des communautés entières autour de leurs usines. «Ils savaient que c’était un moyen de fidéliser le personnel», déclare Brown. «Je pense que nous avons en quelque sorte perdu notre concentration sur cela. Vous ne vous lancez pas dans les affaires si vous ne pouvez pas vous permettre de payer vos fournisseurs, alors pourquoi devriez-vous vous lancer dans les affaires si vous ne pouvez pas payer suffisamment de personnel pour vivre. C’est simple, vraiment.
La nouvelle mission internationale des USA
Dans l’espace réservé aux interventions chirurgicales majeures au centre du pays, les mouvements d’informations entrantes ne cessent jamais. Les analystes de l’ensemble du gouvernement fédéral restent devant leurs ordinateurs clignotants et passent tous à travers d’immenses écrans de télévision réglés sur des routes de reportage. « Dix mille études révèlent régulièrement que notre centre des opérations et notre regard sont centrés sur chacune de celles-ci », a déclaré Russ Travers, directeur adjoint du coeur, après avoir été dans cet article, de temps à autre, car il a été mis en place 16 il y a des années. « Vous pouvez trouver dans les quelque 16 000 étiquettes d’individus des éléments d’information et de faits. Nous devons traiter tout cela », a-t-il ajouté. Le combat des États-Unis contre le terrorisme atteint un tournant. Plus de 17 ans après les assauts d’Al-Qaida en 2001, ce groupe a cessé d’être la pression qu’il était. Et aussi le statut islamique a égaré son territoire principal. En dépit de ces réalisations aux États-Unis, un certain nombre de risques croissants subsistent. Alors, à quoi devrait ressembler l’effort américain? En tant que quelqu’un qui a commencé sa carrière dans le renseignement il y a 40 ans, Travers est instinctivement prudent. « Juste après le 11 septembre, nous avons discuté de cette situation en tant que génération en difficulté. Je suis néanmoins fermement convaincu que c’est la vérité », a-t-il expliqué. Plus que cette technologie antérieure, les États-Unis ont envoyé de nombreuses troupes à l’étranger et mis au point une énorme structure nationale pour lutter contre le terrorisme. Certains, y compris le directeur Trump, disent que le temps et l’énergie sont nécessaires pour livrer les troupes de l’Afghanistan et de la Syrie. Peter Bergen, analyste, dans le journal The american feel tank, reconnaît que le prix d’achat est devenu très élevé, que certaines parties du programme sont redondantes et que les résultats obtenus sont inégaux. Mais il dit que les États-Unis sont en réalité un endroit moins dangereux de nos jours. « Le 11/9, ces personnes comptaient 16 personnes qui se trouvaient autour de la collecte des données sur le programme d’interdiction de vol. Aujourd’hui, elles sont peut-être 81 000. Le 11/9, il n’y avait pas de supervision de la sécurité des transports. Ennuyant que vous obteniez le TSA, c’est un moyen de dissuasion assez important, » il expliqua. Il comprend la tentation de retirer les troupes des conflits de longue date, mais dit que cela comporte des risques. Si les États-Unis sont absents de ces États faibles, ils peuvent se transformer en États défaillants «vulnérables aux groupes terroristes», a-t-il déclaré. «Nous avons déjà utilisé cette vidéo de différentes manières, ce qui est le cas. Les mesures les plus efficaces prises par l’armée américaine au cours des deux dernières années ont généralement concerné « une empreinte quelque peu minime sur les procédures chirurgicales uniques, dans laquelle ces groupes assistent les forces de voisinage », at-il ajouté. Le You.S. n’est pas touché par une principale invasion terroriste de l’étranger depuis 2001. C’est un objectif particulier du You.S. déploie de plus en plus la question de la sécurité face à de grandes rivalités potentielles, comme celles avec la Chine et la Russie, et loin de la lutte antiterroriste Cependant, des difficultés subsistent, comme lutter contre la grande idéologie islamiste qui permet de continuer à recruter de nouvelles recrues.
Le tour du Japon à petit prix
Soyons réalistes: arriver en Chine est prohibitif pour la plupart d’entre nous, dans les pays européens ou en Amérique. Vous avez une chance de vous rendre au Japon plusieurs fois dans votre vie sans trop de soucis, mais le prix à payer reste élevé si vous habitez près d’un aéroport international en Australie. Si vous souhaitez voyager à moindre coût, vous devrez faire preuve de prudence et de créativité, mais vous pourrez toujours profiter de tout ce que le Japon a à offrir. Pour commencer, essayez de réserver vos billets 60 à 90 jours à l’avance, car ils sont généralement les moins chers. Utilisez une application iPhone telle que Hopper pour connaître les coûts d’admission et essayez de les récupérer au moindre coût. Prenez le temps d’examiner le site Web de votre compagnie aérienne préférée, car leurs entrées seront parfois un peu moins chères que les résultats des moteurs de recherche. L’inscription à une carte de crédit d’une compagnie aérienne ou à une autre offre peut entraîner des rabais ou d’autres économies indirectes si vous disposez d’un crédit décent. Soyez prêt à prendre en compte les trajets indirects ou à l’arrivée dans un aéroport international, à l’exception de celui que vous avez conçu à l’origine. De plus petits aéroports internationaux comme Fukuoka peuvent être une option si vous êtes prêt à faire une escale à Séoul ou dans un autre aéroport, même si pour la plupart des voyageurs, les aéroports jumeaux de Tokyo sont la seule option réalisable. Évitez les voyages en hiver (fin décembre), au printemps (en mars), à quelques jours en or (fin avril à début mai) et en une escapade estivale (retardée de juillet à août). Ce sont généralement des jours fériés. au Japon, et les taux de transport aérien seront probablement supérieurs à la normale.
Selon les pays dans lesquels vous vous dirigez en Amérique, le nombre illimité de JR dans tout le pays peut être une dépense considérable. Depuis cette production, la passe réussie 7 fois coûte 29,110 yens (environ 275 $) pour les débutants mûrissent. Il propose des passes d’entraînement shinkansen bullet, à condition de réserver chaque solution à l’avance. Quelques-uns des trains shinkansen les plus rapides, tels que les trains longue distance Nozomi, sont exemptés de l’offre JR Rail Complete. Vous devrez prendre les trains shinkansen, légèrement plus lents, et vous devrez peut-être effectuer un transfert une ou deux fois pour vous rendre à destination. Le JR Pass ne couvre pas le métro de Tokyo, qui nécessite un laissez-passer distinct, ni les autres chemins de fer exploités par des sociétés autres que JR. Il couvrira probablement 80 à 90% de votre transport ferroviaire, mais faites vos recherches à l’avance pour savoir si les villes que vous allez utiliser dépendent en grande partie des autobus ou des autres opérateurs ferroviaires. Par exemple, le JR Pass peut être très utile pour se rendre à Nagasaki, mais il est presque inutile pour se déplacer dans la ville elle-même. (Si vous êtes de Tokyo, il est également plus économique, plus rapide et plus facile de prendre l’avion!) Si vous n’utilisez pas suffisamment le JR pour que le pass en vaille la peine, évitez d’acheter des billets de shinkansen si vous souhaitez voyager le moins cher possible. Il est souvent moins coûteux de prendre l’avion si vous essayez de vous rendre de Tokyo dans une autre grande ville. Un bus fera souvent le travail moins cher et avec de meilleurs paysages, ce qui en fait un très bon voyage si vous vous dirigez vers une ville plus petite du centre du Japon avec un arrêt shinkansen mais pas d’aéroport. Néanmoins, le shinkansen est extrêmement agréable pour les étrangers et chaque station solitaire peut avoir des informations en anglais. Parfois, les entreprises de navette ne disposent pas d’informations en anglais ni de données disponibles en ligne ou à l’intérieur du bus, alors ne vous glissez pas au-dessus de votre visage!
Le sal état du métro de New York
Le nouveau système pourrait être considérablement plus rapide. Les véhicules autonomes emmèneraient les passagers de leur gare d’origine à la dernière sans s’arrêter une seule fois. Les stations devront être redessinées, équipées de petites rampes d’entrée et de sortie qui transportent les taxis qui transportent les coureurs jusqu’à l’état actuel des tourniquets. De cette façon, le trafic ne cesserait jamais de couler. Les véhicules ne s’arrêteront que quand ils ne seront plus dans la circulation. (Ils pourraient ensuite être rechargés et stockés à chaque gare jusqu’à l’arrivée d’un autre passager.) Les véhicules pourraient ne pas rouler aussi vite que les trains actuels (50 km / h ou plus à pleine vitesse), mais l’absence d’arrêts serait payante. de. (Comme tous les coureurs des trains express le savent, chaque arrêt ralentit vraiment les choses.) La location des tunnels à la minute permettrait également de nouvelles utilisations. Il n’ya aucune raison pour que le système ne puisse pas transporter de colis, de nourriture ou d’autres marchandises dans de petits camions autonomes pendant les heures creuses. Ce système fédéré de les entreprises reviendraient à une époque antérieure, lorsque les tunnels de métro et les trains surélevés avaient été construits par des entreprises concurrentes travaillant avec la ville. Les premières lignes de train surélevées ont été mises en chantier dans les années 1860 et le premier tunnel de métro a été ouvert au tournant du siècle. Un système confus de baux et de contrats privés liait le secteur privé et le gouvernement de la ville jusqu’à leur intégration autour de la Seconde Guerre mondiale. À cette époque, la technologie de prédilection était le train et les trains étaient gros. Les véhicules autonomes, en revanche, peuvent être incroyablement souples, en particulier si vous sautez les modèles en forme de voiture et optez pour les transports ultra-légers appelés «hoverboards» ou «scooters». Ces dispositifs intelligents avec équilibrage piloté par ordinateur ressemblent un peu à planches à roulettes mais transporter suffisamment de batterie pour parcourir une dizaine de miles ou plus. Certaines villes sont déjà remplies de scooters qui peuvent être loués à la minute et conduits dans les rues. Maintenant nous juste besoin de ceux autonomes qui fonctionnent dans le système de métro. Le coût? Le marché de ces véhicules est incroyablement dynamique et soumis à une concurrence extrême, les prix allant de 1 000 dollars à environ 150 dollars. Il est facile de trouver des modèles qui coûtent un peu moins de 300 dollars – et ceux-ci sont livrés avec des ordinateurs de bord synchronisés avec les smartphones pour vous permettre d’écouter de la musique à partir de haut-parleurs Bluetooth pendant que vous conduisez. Ces hoverboards sur le marché ne sont pas autonomes, bien sûr, mais cela peut être corrigé avec certaines des technologies qui façonnent déjà la génération actuelle de voitures autonomes. Pour mettre des millions de personnes dans les taxis et les panneaux d’aéroglisseur, il faudrait nettoyer les murs du tunnel, ajouter un bon éclairage et remplacer les voies par une route lisse et pavée. Il y aura sans aucun doute des obstacles. Nettoyer les murs et enlever l’ancienne voie sera difficile et coûteux. Certaines sections ont des doubles voies qu’il en coûterait deux fois plus de supprimer. Malgré tout, un budget de 8 millions de dollars Pour chacun des 240 milles du système actuel, cela ne représenterait que 2 milliards de dollars. Même si ce coût devait doubler, cela ne représenterait qu’un cinquième environ de l’estimation actuelle pour réparer le système existant. (C’est bien sûr une estimation. Tous ceux qui ont suivi la construction civique savent qu’il n’est pas rare que des estimations comme celle-ci – ou les travaux de rénovation de 19 milliards de dollars – aient doublé ou triplé à la fin des travaux.) Retrouvez plus de renseignements sur l’organisateur de ce séminaire à New York.
Ma maison connectée
« Ma maison 2.0 » est un projet de sciences et technologie au secondaire dans lequel les jeunes apprennent l’électronique et la programmation en expérimentant et en manipulant. Nous réalisons actuellement ce projet-pilote avec quatre groupes de l’École internationale de Montréal. Les élèves sont initiés à l’électricité, l’électronique et la programmation à travers différents ateliers. C’est l’occasion de s’approprier le vocabulaire, de découvrir ce qu’est une DEL, une photorésistance ou encore une variable, une condition et une boucle dans un programme informatique. Ils sont ensuite invités à construire une maquette de maison domotisée en réinvestissant les connaissances et compétences acquises. Ce projet rejoint le point central du programme de formation de l’école québécoise au premier cycle du secondaire : « comprendre que la mathématique, la science et la technologie font partie de la culture générale » en démystifiant le fonctionnement des appareils qui nous entourent et en proposant des explications simples et concrètes à des phénomènes quotidiens. ** Les ateliers sont gratuits et se donnent en classe, notre intervenant se déplace à votre école ** Objectifs généraux : – Chercher des réponses ou des solutions à des problèmes d’ordre scientifique ou technologique – Mettre à profit ses connaissances scientifiques et technologiques – Communiquer à l’aide des langages utilisés en sciences et technologie Objectifs spécifiques : – Cerner un problème – Choisir un scénario d’investigation ou de conception – Concrétiser sa démarche – Analyser ses résultats ou sa solution – Dégager des retombées de la science et de la technologie – Comprendre le fonctionnement d’objets techniques – Comprendre des phénomènes naturels – Participer à des échanges d’information à caractère scientifique et technologique – Divulguer des savoirs ou des résultats scientifiques et techniques – Interpréter et produire des messages à caractère scientifique et technologique Conditions : Ateliers offerts uniquement à l’École internationale de Montréal Projet final : À la fin de l’année, une exposition aura lieu afin de présenter les réalisations des élèves. Ce sera alors pour eux le moment d’expliquer aux autres élèves, à leurs parents, aux professeurs, ce qu’ils ont créé. Ce moment leur permettra de comparer leurs choix techniques, de les argumenter, de les défendre et de faire évoluer leurs concepts en empruntant les termes et le vocabulaire liés aux sciences et technologies que nous avons utilisé tout au long de l’année.
Quand les crises s’enchainent
En Europe, 1 700 milliards d’euros sont fournis aux banques par les États, sous forme de prêts ou de garanties (Heyer et Timbeau, 2012). La priorité est d’éviter les effets en cascade de la crise bancaire. Si le système bancaire est en large partie sauvé, l’impact récessif n’est pas évité.
7La crise financière se mue en crise économique dès la fin de l’année 2008. En France, l’évolution du PIB, qui avait été de + 2,3 % en 2007, n’est plus que de + 0,1 % en 2008 et devient négative en 2009 (-2,5 %). Dans la zone euro, cette année 2009 est marquée par un recul encore plus fort de la richesse produite (-4,1 %). Pour faire face au choc de demande observé au niveau mondial, les États engagent des politiques économiques très actives, notamment à travers leur composante budgétaire mais aussi par le biais des dépenses sociales dont la croissance n’est pas entravée. Il s’agit de permettre à celles-ci de jouer leur rôle traditionnel de stabilisateurs automatiques, par exemple à travers une atténuation de la perte des revenus individuels en cas de perte d’emploi.
8Ces interventions permettent un retour de la croissance au cours des années 2010-2011. Mais simultanément, et très logiquement, elles entraînent une augmentation des déficits et de l’endettement publics. Les niveaux de ceux-ci dépassent alors largement les seuils que les pays de la zone euro s’étaient eux-mêmes imposés lors de la création de leur monnaie commune. La crise prend alors une autre dimension.
9Qualifiée de « crise des dettes souveraines », elle met en lumière la dépendance de nombreux États européens à l’égard des marchés financiers. Ceux-ci, contribuant au refinancement des dettes publiques par le placement des titres correspondants, manifestent leur inquiétude quant à la capacité de certains débiteurs à honorer leurs dettes. Le risque d’une évolution défavorable des taux d’intérêt auxquels les gouvernements peuvent se procurer des fonds à court, moyen ou long terme s’accroît considérablement, aggravant encore, pour les plus fragiles, leur endettement. D’où la mise en place, en Europe, de plans d’assainissement budgétaire à l’initiative soit des gouvernements nationaux, soit de l’instance dénommée « troïka », qui regroupe le Fonds monétaire international, la Banque centrale européenne et la Commission européenne. Dans ce dernier cas, qui a concerné des pays comme la Grèce, l’Irlande, Chypre et le Portugal, l’octroi de l’aide a été conditionné à la mise en place de plans de réformes structurelles sous la forme, notamment, de privatisations d’entreprises, de diminution de l’emploi public et de flexibilisation du marché du travail. Ces mesures, censées selon leurs promoteurs contribuer à un assainissement des finances publiques et à une diminution de l’endettement de l’État, ont un impact rapide en provoquant un quasi-arrêt de la croissance économique sur le Vieux Continent. Engendrant une nouvelle augmentation du chômage et un allongement de sa durée, cette nouvelle phase de la crise économique débouche sur une crise sociale profonde, qui peut avoir des répercussions politiques importantes.
USA: tendance au virtuel
La réalité virtuelle est-elle vouée à connaître le destin du Minitel ou plutôt celui de l’Ipod ? That is the question, et nous sommes sur le point d’en connaître la réponse. Mais pour ma part, elle me semble assez évidente. Mercredi dernier, j’ai suivi un congrès à Boston où j’ai pu examiner cette question avec pas mal de gens : nous avons pu expérimenter la VR et discuter ensuite de nos impressions tout au long de la soirée. Si vous me lisez régulièrement, vous savez déjà que je crois dur comme fer à l’avenir de la VR. J’ai donc été assez surpris en m’apercevant que quantité de gens autour de moi doutent encore de cette révolution imminente. Pas mal estiment en effet qu’une fois que le côté nouveauté se sera estompé, les clients passeront vraisemblablement leur chemin. Mais c’est vraiment commettre une incroyable erreur que d’imaginer que cette technologie ne fait que passer : elle va au contraire s’imposer en profondeur dans notre vie et bouleverser totalement nos habitudes. Cela fait déjà des décennies qu’on l’attend : en un sens, elle est même devenue un des fondamentaux de notre perception du futur. Et ce n’est pas par charité que Facebook a racheté Oculus VR pour quelques deux milliards de dollars il y a deux ans. Ce n’est pas non plus par charité que Steam et Facebook investissent de fortes sommes dans le secteur. Ils ne le feraient pas s’ils ne subodoraient pas là un fort potentiel sur lequel ils ne doivent surtout pas rater le coche. Prétendre que la réalité virtuelle est condamnée est donc non seulement stupide, mais un peu arrogant : au fond, cela revient à penser qu’on a plus de jugeote que tous les géants du secteur. Soit dit en passant, j’ai été conquis par ce congrès. Et l’agence qui l’a mis sur pied devait elle aussi croire en la réalité virtuelle, puisqu’elle n’a pas hésité à en faire le fer de lance de la soirée. Pour mon plus grand plaisir, en tout cas ! Et même ceux qui ne croient pas en son potentiel ont apparemment pris beaucoup de plaisir… En savoir plus en suivant le lien sur le site du spécialiste reconnu de l’organisation de séminaire aux USA.
New York
Pouvez-vous nous raconter les débuts de la marque ? Si l’aventure débuta avec un berceau comme premier article, Œuf NYC a rapidement grandi et offre désormais plusieurs lignes de mobilier et vêtements pour bébés et enfants, de la layette, mais aussi des objets de décoration et des jouets. Mon mari et moi-même avions des formations différentes mais très complémentaires et nous avions en commun un sens pointu du design : minimaliste, de qualité, fonctionnel mais aussi ludique. D’ou vient le nom ? Œuf a plusieurs significations pour notre marque. Tout d’abord, au sens premier du mot, l’œuf et le design Œuf NYC ont des qualités esthétiques et fonctionnelles communes : des lignes et des courbes épurées, une simplicité naturelle et intuitive. En guise de coquille, les collections Œuf NYC ont une dimension réconfortante grâce aux nombreux articles en maille, notamment aux pulls à capuche et petits bonnets. Par ailleurs, le mot Œuf traduit en anglais (egg) possède différents sens liés à la maternité. Telle une ‘mère poule’, le client ou la cliente Œuf souhaite offrir le meilleur à ses enfants mais souhaite également des articles qualitatifs et durables qui seront transmis de génération en génération.
Néanmoins sachez qu’il existe quelques bons hôtels à des prix raisonnables et bien situés (sisi, c’est possible). A l’inverse, cette ville de la démesure possède quelques-uns des plus beaux palaces du monde. Si vous partez avec l’objectif de vous faire plaisir : c’est possible ! Vous trouverez alors des services haut-gamme : des spas d’exception mais aussi, comble du luxe, des hôtels équipés de piscine. Une perspective agréable pendant l’été après de longues visites au soleil ! Envie d’éviter la foule, vous recherchez une adresse plus intime et conviviale pour vivre à la new-yorkaise ? Direction Chelsea ou Tribeca. Enfin, dans cette ville où les arts et la créativité sont rois, les amateurs d’architecture se plairont dans les hôtels design de Manhattan. Électricité : 110-115 volts et 60 périodes (en France : 220 volts et 50 périodes). Attention : aux États-Unis, les fiches sont plates. Achetez l’adaptateur en France, difficile à trouver sur place.
Nos clients sont tous ravis ! Nous voici de retour en France et je tenais particulièrement à vous remercier Elise pour l’ensemble des visites que nous avons effectuées avec vous ainsi qu’avec Julie. Ce fut un réel plaisir de faire votre connaissance et de partager la découverte de ces quartiers de New-York inconnus pour nous avec vous. Nous garderons en mémoire votre enthousiasme et votre gentillesse ainsi que votre adaptation permanente à l’ensemble du groupe. Première visite de New-York avec 3 amies, nous décidons de faire appel aux services d’Elise pour une visite privée de Harlem (lieu ou nous vivions pendant une semaine) puis de Brooklyn. Ce fût l’une des meilleures journées de notre séjour ! Elise est une jeune femme super agréable, fun et qui connaît NYC au top ! Nous avons passé une excellente journée, découvert de nombreuses choses, bien mangé et fini en beauté sur un rooftop à Brooklyn avec l’une des plus belles vue sur Manhattan. 1ère chose à faire si vous partez à New York, réservez une guide qui s’y connait ! Et ELISE de NEW YORK OFF ROAD est LA bonne personne ! Notre découverte de New York a été magique.
Tous les immigrants devaient se soumettre à un examen (sur Ellis Island) afin de déterminer s’ils étaient aptes à entrer sur le sol américain, aujourd’hui Ellis Island a été reconvertie en musée, allez y faire un tour ! La ville est un haut lieu de tourisme et les lieux incontournables sont nombreux ! Ainsi parmi les lieux à ne pas manquer, on a la fameuse Statue de la Liberté. Elle est située sur l’île de Liberty Island, la statue, haute de 93 mètres, fût originairement offerte par le « peuple » français en signe d’amitié entre les deux nations. Time Square est une véritable plaque tournante du spectacle de Broadway et de ses comédies musicales mondialement célèbres. Central Parc, le plus grand espace vert de New-York est situé sur l’île de Manhattan. Il est aisé de se perdre dans ce parc tant il est grand. De plus, les évènements et les manifestations en plein air y sont nombreux. Ce musée poignant est un incontournable de New York. Après cela, direction Wall Street, et on s’imagine magnat de la finance devant les célèbres bureaux de la Bourse. On continue toujours plein sud et on passe devant le fameux « Charging Bull » au milieu du Bowling Green Park. Notre conseil : Découvrez et visitez New York avec Personal Attention en cliquant ici. Tout au sud, prendre un ferry et rejoindre Liberty Island pour arriver dans les jupes de l’œuvre colossale de Bartholdi. On peut aussi embarquer à bord du ferry (gratuit) en direction de Staten Island. Pour une vue imprenable sur la Statue de la Liberté, asseyez vous du côté droit à l’aller. Une fois sur l’île, le principal lieu d’intérêt est le memorial du 11 Septembre. Vous pouvez ensuite quitter ce monde de la consommation et descendre vers Bryant Park, pour retrouver un peu de fraîcheur. Les puristes seront heureux de savoir que se situe là « La Boule New Yorkaise », club de pétanque de la Grande Pomme (Plus d’informations ici).
Pour plus de détails sur Voyage New York visitez notre page Web.
La maison brûle
Le comportement d’Emmanuel Macron est désarmant de sincérité. Le président de la République affiche un narcissisme permanent et infantile auquel vient s’ajouter un étonnant sentiment d’impunité. Et avec lui, aucune relâche, nous avons droit tous les jours à un épisode destiné à nourrir notre stupéfaction devant l’absence de limites du personnage. Il y a eu l’épisode qui a suivi la victoire française en Coupe du Monde de football, occasion à laquelle Emmanuel Macron a été incapable de se maîtriser, en a fait des tonnes de façon gênante, avant de signifier son égoïsme méprisant avec la confiscation de la descente du bus sur les Champs-Élysées. « Moi d’abord, les autres ne sont rien. »
Une sanction ridicule
Il y a maintenant l’incroyable affaire qui concerne une espèce de « garde-du-corps-porte-flingue-conseiller » à l’Élysée auprès du chef et dont on apprend qu’il joue les nervis en allant casser du passant dans les rues de Paris. Une vidéo nous montre Monsieur Alexandre Benalla profitant d’un temps libre pour revêtir les signes liés à la fonction de policier et passer à tabac les gens qu’il soupçonne d’être des opposants à son patron. Au plan juridique, judiciaire et administratif, cette affaire est d’une gravité exceptionnelle. Elle s’est déroulée il y a plus de deux mois et demi et jusqu’à présent, la seule conséquence avait été une mise à pied de 15 jours de l’apprenti milicien !
Ce simple petit exposé suffit à provoquer une forme de sidération à la fois devant le comportement du « collaborateur », mais aussi devant celle de son patron administratif, le Secrétaire général de l’Élysée qui a pris cette sanction absolument ridicule. Et s’est surtout bien gardé d’accomplir les actes que lui impose l’article 40 du code de procédure pénale, c’est-à-dire de transmettre au procureur de Paris les informations dont il disposait. C’est presque pour moi la partie la plus importante du scandale en ce qu’elle caractérise l’incroyable et arrogant sentiment d’impunité de la petite caste qui entoure le chef de l’État.
Quand Benalla se déguise
Parce qu’à la vision de la vidéo, la commission d’un certain nombre d’infractions, semble-t-il, très graves saute aux yeux. Il apparaît tout d’abord que Monsieur Benalla a revêtu et porté des insignes (casque et brassard) tendant à le faire passer pour un policier dans l’exercice de ses fonctions. Premier délit prévu et réprimé par l’article 433-5 du Code Pénal. Imparable.
Ensuite, le même Monsieur Benalla, affublé de son déguisement, a exercé des violences contre des personnes visant à les faire passer pour des interventions des forces de l’ordre elles-mêmes. Il a donc lourdement violé les articles 433-12 et 433-13 du Code Pénal qui interdisent de s’immiscer dans une fonction publique réservée à son titulaire, et de le faire en introduisant une confusion dans l’esprit du public, et notamment par le port de cet uniforme. Cela s’appelle en bon français une « usurpation de fonctions ». C’est une infraction très grave.
Il suffit par ailleurs de regarder la vidéo pour constater que l’énergique collaborateur du président a exercé des violences illégitimes sur la personne de ces deux passants. Dont il semble bien qu’ils ne participaient même pas à la petite manifestation sur cette place de la Contrescarpe. Application de l’article 222-13 du Code Pénal, le « policier » de circonstance a, semble-t-il, bien commis les coups et blessures volontaires interdits par la loi. Le palmarès de notre paramilitaire 2.0 commence à sérieusement s’étoffer. Mais ce n’est pas fini.
L’auteur de la vidéo semble dire qu’Alexandre Benalla l’aurait menacé s’il s’avisait de la diffuser. De façon à la fois retenue et nuancée, il lui aurait lancé : « Si tu la diffuses, je te crame ! » Bien, bien, bien, comment interpréter cette menace ? Celui qui l’a lancé a fait la démonstration que la violence physique ne lui faisait pas peur et qu’il en avait même un certain goût. C’est que la loi fait une distinction entre les menaces de violence et les menaces de mort. Le tarif du Code pénal pour les menaces de mort, c’est plus cher. Alors « cramer » ?
Et la justice dans tout ça ?
Chacun ici connaît mon attachement au principe de la présomption d’innocence. Alexandre Benalla y a droit, comme tout le monde. Encore faudrait-il que la justice soit saisie. Et c’est là que se pose à mon avis le problème le plus grave dans ce qui vient de se produire. L’inertie dont a fait preuve le Secrétariat général de l’Élysée à cette occasion constitue le cœur du scandale. Qu’Emmanuel Macron ait besoin d’un garde du corps n’est pas anormal, même si la qualité du recrutement renvoie à la légèreté du chef de l’État. Mais que l’administration ayant connaissance des faits et de leur extrême gravité ait jugé pouvoir s’en tirer, avec cette sanction administrative, caractérise un mépris de la loi et des règles inacceptable de la part de fonctionnaires de ce niveau.
Car, en effet, au-delà du caractère ridicule de ladite sanction administrative, il y avait l’obligation de transmettre au procureur la connaissance des faits de nature à constituer les graves infractions pénales que j’ai relevées. L’inobservation par un fonctionnaire de l’obligation qui lui incombe prévue par l’article 40 du Code de Procédure pénale n’est pas assortie de sanctions pénales dans le texte. Pour une bonne raison c’est que c’est une obligation administrative. Qui engage la responsabilité professionnelle du fonctionnaire et par conséquent celui qui ne la respecte pas encourt une sanction disciplinaire.
Le Secrétaire général de l’Élysée n’a plus rien à faire à son poste. Nous sommes bien sûrs que le prince lui demandera d’y rester. Sentiment d’impunité quand tu nous tiens.